Très chers abonnés, bonjour et merci de nous renouveler une fois de plus votre confiance ce matin, dans le cadre de cette revue de la presse matinale. Retrouvez ci-dessous, la revue de quelques-unes telles que traitées par certains journaux parus en kiosque et en ligne ce 20 mars 2024 au Cameroun.
« Vulgarisation des TIC : 56 handicapés rendus handicapables par l’IAI-Cameroun », selon La Météo. D’après le journal, ces personnes vulnérables ont, ce 16 mars reçu leurs attestations des mains du Représentant-Resident, Armand Claude Abanda, au campus du Centre d’excellence technologique Paul Biya de Nkolanga’a, banlieue de Yaoundé.
Relents politiques au sein de l’Ordre national des médecins, le visage du MRC dévoilé au sommet. Selon le journal LE TÉMOIN, au lendemain des mesures conservatoires prises par le ministre de la Santé publique, Manaouda Malachie a la suite d’une faute administrative lourde commise par le Directeur de District de Messamena, l’Ordre national des médecins du Cameroun fait une sortie demandant au ministre de revoir sa décision.
Crime à Banganté. Une fillette a été violée, sodomisée, assassinée et retrouvée morte chez un agent de la police. Le récit est du journal La Voix du Centre dans son édition en kiosque ce jour. Les tours et les contours de cette affaire à lire en page 3.
Santé sexuelle et reproductive, la Camnafaw forme 43 pairs éducateurs, dans le cadre de la mise en œuvre du projet dénommé « Ado Avance Ensemble », financé par l’Union européenne. Comme l’indique le journal LA VOIX DES JEUNES, la Camnafaw s’est donné pour mission, grâce aux techniques de facilitation créative, de former ces pairs éducateurs en éducation complète à la sexualité. L’événement se tient à l’hôtel Faya de Douala du 18 au 21 mars 2024.
« Université d’État : La fièvre des décrets », lit-on en grande Une de Mutations. En kiosque ce jour, notre confrère explique que la nomination du recteur de l’université de Yaoundé 2 au Conseil constitutionnel et l’expiration des prorogations d’activité ravivent le suspense des actes présidentiels au sein de la communauté universitaire depuis le 18 janvier 2024.
39e anniversaire du Rdpc, vivement la page 40 ! Le journal L’ACTION, fait savoir que le Rdpc s’apprête à tourner la page le 24 mars 2024, une autre page de son existence. En célébrant ce 39e anniversaire, militants et les responsables du Parti ne peuvent pas s’empêcher de se projeter d’ores et déjà sur le 24 mars 2025. Quel que soit le calendrier électoral, le parti devra alors montrer de grandes capacités de résilience et être prêt à mener de front la présidentielle et d’autres scrutins.
« Il y avait quoi avant ? », l’expression qui fait la Une des réseaux sociaux depuis quelques semaines au Cameroun fait la grande Une d’EcoMatin de ce matin. Dans son analyse, notre confrère indique que résume la déclaration de la ministre de l’Habitat et du Développement urbain, le 5 février, à Maroua, où elle effectuait justement une visite des chantiers routiers, comme étant une « sortie de route ». Une routine pourrait-on dire, si cette formule « Il y avait quoi avant ? » N’était pas sortie de son foulard. Reprise de manière virale et sortie à dessein de son contexte, la phrase tourne depuis lors en une controverse sur le bilan économique Ahidjo – Biya. L’enjeu est à présent de savoir quel impact politique les propos de la vibrionne Célestine Ketcha Courtès, activiste à souhait et adepte des polémiques, auront à l’approche d’une présidentielle qui commence à crisper l’atmosphère politique. Des éléments de réponse dans les colonnes du bihebdomadaire d’Émile Fidieck.
Performances, 12 millions de transactions traitées sur Gimacpay en 2023. C’est ce que renseigne le quotidien de L’ÉCONOMIE, dans sa parution de ce matin. Selon le tabloïd, ce chiffre est en hausse par rapport à 2022, selon les chiffres publiés par le Groupement interbancaire monétaire de l’Afrique Centrale (Gimac).
Perturbations du réseau Internet. Le bihebdomadaire La Voix Des Entreprises renseigne que plus d’un demi-milliard de FCFA de pertes, ont déjà été enregistrées. Les services bancaires, e-commerce, transfert et retrait d’argent, services de transports, services publics digitalisés… sont impactés depuis le 14 mars 2024 au Cameroun. Plus de précisions en page 3 du journal.
Panne d’Internet au Cameroun, les crédits data non utilisés seront restitués aux abonnés. C’est ce que fait savoir le quotidien LE DRAPEAU. Suite aux incidents survenus sur les câbles sous-marins desservant l’Afrique, le gouvernement impose des mesures d’urgence aux opérateurs de téléphonie mobile pour minimiser les perturbations. Des actions telles que l’augmentation des capacités d’Internet sur le câble SAIL et la restitution des crédits data non utilisés sont mises en place, tandis que des recommandations de diversification des voies d’accès internet sont également émises.
Le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) fait incursion au sein de l’Ordre national des médecins. C’est en tout cas ce que nous fait savoir Le Témoin en kiosque ce matin. En effet, au lendemain des mesures conservatoires prises par le ministre de la Santé publique Manaouda Malachie à la suite d’une faute administrative lourde commise par le Directeur de District de Messamena, l’Ordre national des médecins du Cameroun fait une sortie demandant au ministre de revoir sa décision, écrit le journal. Les détails en page 3.
Étoudi 2025, le MRC redoute l’anticipation. En kiosque ce jour, le journal Satirique LE POPOLI, dans une illustration renseigne que comme Macky Sall quitte la scène avec Sonko… Le président de la République Paul Biya, partira bien avec celui-ci, pointant du doigt le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun ????.
Mais en attendant d’avoir une réponse à cette problématique de Le Popoli, InfoMatin nous plonge dans les dédales du Parti camerounais pour la Réconciliation nationale (PCRN). Dans cette édition, l’on apprend que Robert Kona, fondateur de cette formation politique appelle les autorités à sceller son quartier général. À en croire le quotidien InfoMatin, le président-fondateur du PCRN accuse dans un daté du 17 mars, le député Cabral Libii et son équipe de transformer le parti en un instrument « d’insurrection ».